Le site américain Ultimate Surrender fait des émules sur le Vieux Continent puisque Nude Fight Club est récemment apparu sur la toile.
C’est la dernière mode en date. La lutte féminine a le vent en poupe. Pas question ici de versions non hormonées du célèbre Hulk Hogan et ce, même si le site WrestlingInc.com a choisi la starlette web de l’année lors des derniers AVN Awards, Sunny Leone, comme modèle du mois de mars. Non, ici il est question d’un sport à l’enjeu bien différent : la suprématie sexuelle.
Spécialité hongroise
On connaissait ainsi le site américain Ultimate Surrender qui propose d’admirer de véritables luttes entre femmes. Chaque combat dure trois rounds à l’issue desquels les gagnantes peuvent humilier et baiser les perdantes à leur guise. Évidemment, les coups sous la ceinture sont permis, voire recommandés puisque le meilleur moyen de remporter la mise consiste à donner un orgasme à son adversaire. À défaut, les filles marquent des points grâce à un savant système comptabilisant toutes les prises sexuelles, à l’image du facesitting qui remporte souvent les faveurs des participantes car offrant la possibilité d’enchaîner sur bien d’autres prises.
Le succès de ce type de combat n’est plus limité aux États-Unis puisqu’il existe dorénavant un équivalent européen : Nude Fight Club. Et première indication en arrivant sur la page d’accueil, la Hongrie semble être la spécialiste du genre. On retrouve ainsi parmi les meilleures participantes Aletta Ocean, Madison Parker, Blue Angel ou encore Brandy Smile… Une domination sans partage ou presque ! Quelle Française aura le courage d’aller fourrer son cul dans cette aventure pour redorer le blason national ?
La lutte féminine version X
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