La saison de F1 reprend ce week-end. L’occasion de s’intéresser à une déclinaison injustement méconnue de la discipline reine des sports mécaniques, le Fuck 1 Grand Prix. Chaud devant !
Les Japonais ont un esprit créatif hors du commun. Quiconque se souvient des séries X-Or ou Bioman n’aura aucun mal à admettre ce point. Et pourrait même s’avérer particulièrement intéressé par l’une des dernières nouveautés en provenance du Pays du Soleil Levant. Car c’est une nouvelle forme de course à l’orgasme qui débarque sur nos écrans. Et pas n’importe laquelle. Une course de F1, s’il vous plaît !
Course d’endurance
Le Fuck 1 Grand Prix met ainsi aux prises six participantes cherchant à rallier l’arrivée avant les autres sur des engins révolutionnaires. En guise de moteur, c’est un sextoy mécanique qui sert à faire avancer ces bolides écologiques d’une nouvelle génération. Chaque véhicule est de surcroît équipé de deux caméras afin de nous permettre de vivre cette course de l’intérieur. Mais contrairement aux sports mécaniques traditionnels, celles-ci ne sont pas tournées vers la piste.
L’une pointe directement vers le sexe de la candidate, de manière à ne rien manquer de ses avancées masturbatoires, tandis que l’autre permet de saisir en gros plan ses expressions faciales. L’occasion de remarquer d’ailleurs qu’il s’agit d’une discipline particulièrement éprouvante, les candidates se présentant généralement épuisées lors des passages aux stands. Et là encore, contrairement à l’autre F1, pas questions de profiter de ces arrêts pour souffler un peu puisqu’au lieu de recharger leurs batteries, les concurrentes se font purement et simplement baiser à nouveau. Ah, quelle belle discipline !
Maria Ozawa en pleine action
Dernières vérifications techniques pour Maria Ozawa
La grille de départ
L'envie de dormir après un orgasme, un danger encore mal évalué
Les mécaniciens ont droit au casque, eux…
L'affiche de la course