Guerre ouverte contre le piratage
Plus que jamais, les studios américains semblent lancés dans une guerre ouverte contre l’un des maux modernes du X, le piratage.
Ce qui a commencé comme une aubaine pour l’industrie du X en permettant à tout un chacun de visionner discrètement et tranquillement des images pornographiques s’est transformé depuis plusieurs années en cauchemar. Alors que de nombreux clients étaient disposés à ouvrir largement leur portefeuille à la fin du siècle dernier pour visionner du X, ceux-ci se font aujourd’hui rares dans la mesure où il est particulièrement aisé d’en trouver gratuitement sur le net. Mais comment combattre cet amalgame, que le porno est synonyme de gratuité ?
Image publique
Sous l’impulsion de Pink Visual, de nombreux studios américains semblent d’accord pour se rencontrer au cours du mois d’octobre pour étudier comment combattre le piratage et protéger la création de contenu. Car il devient particulièrement frustrant de voir l’intégralité du contenu d’un site être disponible gratuitement ailleurs sur la toile moins de 24 heures après sa mise en ligne. Dans le même temps, plusieurs studios, dont Hustler à travers Larry Flynt Publications, viennent de porter plainte contre des centaines d’utilisateurs de réseaux peer-to-peer, comme BitTorrent. Sans forcément espérer une victoire juridique…
Les avocats des différents studios se sont concentrés sur certaines niches bien précises pour mener leurs actions. Comme les vidéos de transexuels par exemple. Car il y a de bonnes chances pour que le simple embarras d’être poursuivi en justice pour avoir téléchargé des titres avec des personnes du 3e sexe suffise à calmer bien des ardeurs. Verdict dans quelques mois.
