La plus jeune contract girl de Digital Playground s’est confiée de manière très intime dans le numéro 242 de Hot Vidéo, dont elle arbore la couverture.
Certains disent déjà que c’est la star de demain. D’autres, qu’elle possède le plus beau corps de la Porn Valley. Pour Digital Playground, c’est un peu des deux. Ou plutôt, beaucoup de chaque. Le grand studio américain s’est ainsi empressé de lui faire signer un contrat d’exclusivité en fin d’année dernière. « Ce n’est pas juste une belle gueule. C’est une star en devenir », se justifiait Samantha Lewis, la patronne du studio au moment de cette signature.
Super baiseuse ?
Belle gueule, beau corps… c’est bien beau tout ça, mais ça ne permet pas de se faire une idée précise à propos du nerf de la guerre pour une actrice porno. Ses qualités de baiseuse. Sa filmographie s’avère encore beaucoup trop maigre pour se faire une idée précise de ses talents, même si on a vu débarquer Assassins la semaine dernière, son tout premier film chez Digital. « J’adore baiser. J’adore qu’on me paie pour baiser. J’adore qu’on me paie pour être une traînée », a-t-elle ainsi sorti à notre reporter, au pied des collines d’Hollywood, comme si le fait de se refuser à la sodomie à l’écran lui avait conféré une réputation de fille soft. Ça ne répond pas vraiment à la question initiale non plus, à moins que le but d’un tel propos n’ait été plus simplement d’allumer le gars qui lui posait des questions. Et là, tout de suite, ça en fait une fille bien chaude, et peut-être même une belle baiseuse, même si là c’est une question d’interprétation. Pour en avoir une personnelle, il suffit de lire le reportage Confidential dont elle fait l’objet dans le numéro 242 de Hot Vidéo, disponible dès aujourd’hui dans les kiosques.
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