Lutte, capoeira, full contact… À 29 ans, la Nordiste Sasha Hardcandy aime cogner mais dès qu’il s’agit de la baise, il lui faut du balaise.
Dorénavant, dans la banlieue lilloise, il y aura un Grand Stade et Sasha Hardcandy. Libertine, strip-teaseuse et actrice de cul suite à sa rencontre avec Machine Production l’année dernière, Sasha a depuis enchainé avec Salvo Moretti, Jacquie et Michel TV et Charon, le maître SM forgeron. « Manu et Messaline de Machine Productions, je leur dois beaucoup. Je leur demande conseil pour chacun de mes tournages. On s’est rencontré sur Netech’ et dans la foulée, j’ai fait ma première scène pour eux. Je suis strip-teaseuse depuis l’âge de 18 ans et suite à une séparation, j’ai décidé de m’éclater et d’assumer ma vie au grand jour en me lançant dans le porno, mais j’ai un métier conventionnel. Un ex malfaisant a d’ailleurs diffusé l’intégralité de mes vidéos à mes proches et au boulot. J’ai eu du bol, tout le monde a été compréhensif mais je ne veux jamais plus que ça se reproduise » explique cette jolie blonde de 1,70 m au cul dur comme du béton. « Je fais les championnats de France de fitness aussi » sourit-elle. Et pas seulement ! « Je pratique les arts martiaux depuis plus de dix ans. J’ai démarré par la lutte mais ça fait six mois que je me suis mise au full contact. En septembre, Machine Prod tourne d’ailleurs un film dans une salle de boxe autour de ma passion sur le full contact. Après, je ne fais pas de compétition, c’est pour me défouler, comme le cul. Dans ma vie, autant je suis « dominante », j’aime porter la culotte, autant dans le cul, c’est l’inverse : j’aime être soumise, histoire de lâcher prise ».
Une unité de la Bac à son actif
Son expertise de la baston l’autorise même à s’affranchir de la peur de l’uniforme au point qu’elle se farcit les fonctionnaires au petit dej… « J’adore les uniformes, d’ailleurs je me suis tapé presque tous les corps de métier : unité de la BAC, policiers, pompiers, gendarmes… il n’y a que la garde Républicaine que je n’ai pas encore faite ! » Dans cette optique, elle aime l’archétype des hommes qui les enfilent : « C’est peut-être cliché mais J’aime bien les mecs grands et musclés, à la Charon et, surtout, en avoir plusieurs sur moi ! » A bientôt trente berges, Sasha Hardcandy n’est toutefois pas tombée de la dernière pluie et celui qui voudra mettre la main sur cette dure-au-mal devra mettre les formes : « je n’aime pas que l’on me drague pour mon cul, de même que j’aime les mecs virils et sûrs d’eux mais surtout pas violents ». Elle aura prévenu : croquer un bonbon aussi dur peut casser les dents.
