Portrait : Molly Saint-Rose, c'est le bouquet !

Décidée, depuis l’âge de 13 ans, à entrer dans l’industrie du X, Molly Saint-Rose, actrice porno depuis un an [à l’âge canonique de 21 ans !], est l’une des plus grosses promesses du porno français. Très brute de décoffrage, elle ne cache pas sa passion pour la baise. Féministe engagée, persuadée que la libération de la femme passera par celle de son corps, elle n’a pas tardé à mettre cette conception en pratique !

Absolument charmante, la jeune femme est l’une de ces actrices X comme on en voit peu. Sous une crinière orange se cache un petit bout de femme pour qui la baise est une véritable passion et ce, depuis le jour où elle a appris que « coucher » ne voulait pas seulement dire « aller faire dodo ». Mais attention ! N’allez surtout pas croire que Molly soit du genre « olé olé ». En vérité, la foi se cache au plus profond du coeur de ce petit ange roux puisque, au moment de choisir son nom d’actrice, l’évidence se présenta à elle comme une fulgurance divine : elle serait Molly Saint-Rose, « Saint » pour sa foi catholique et « Rose », couleur des petites filles.

D’abord très « coincée du cul » et frustrée, Molly fut une très bonne cliente de l’industrie pornographique, puisque son goût pour le hard se vivait à chaque heure du jour et de la nuit. À vingt ans, elle décida de se lancer et, de toute évidence, n’a aucun regret ! Ayant d’abord tourné une scène vaginale diffusée en simultanée sur Chaturbate avec John B. Root, la jeune femme fut un temps effrayée mais se laissa progressive-ment aller à son plaisir, très fière de sa première scène et d’avoir, à cette occasion, perdue sa virginité !

FLEGMATIQUE, ÉNERGIQUE, DEUX RAISONS POUR SE PRENDRE DES BITES

Cela pourra sembler difficile à croire, tant Molly déborde d’énergie quand il s’agit de baise, mais la jeune actrice X en était bien à son coup d’essai lorsqu’elle tourna sa première scène avec Rico Simmons. Depuis, assumant totale-ment sa bisexualité, l’actrice aux airs de femme-enfant ne recule devant rien pour satisfaire un public totalement acquis à sa cause et constamment à l’affût de ses frasques débridées [la miss étant vraisemblablement adepte des golden showers entre filles].Repérée sur Twitter à l’occasion de quelques selfies volontairement osés, Molly est de ces actrices dont on ne doute qu’elle repousse constamment ses limites. Pour elle, les seules fron-tières restent et resteront le scato et la zoophilie. « C’est beaucoup trop extrême. Je trouve ça vraiment répu-gnant », grimace la jeune femme, avec son flegme légendaire. Et si elle a ses préférences en matière d’hommes, elles vont aux messieurs plus âgés puisqu’elle avoue sans peine adorer ceux qu’elle affuble du doux sobriquet de « vieux », « les plus de 50 ans », ajoute-t-elle sans broncher. Attirée par l’intelligence et l’expérience, Molly serait-elle sapio-sexuelle en plus d’être gérontophile ?

LES DADDIES C’EST SON DADA !

En effet, les daddies, c’est son dada et elle est loin d’être la seule. Mais rassurez-vous, aucun désir incestueux là-dedans ! Non, le fantasme encore inassouvi de la jeune femme, c’est de participer à un gang-bang en costume d’époque [on ne doute pas qu’elle trouvera sûrement son bonheur lors d’une fête médiévale organisée dans sa ville natale d’Hénin-Beaumont]. La belle confesse un attrait tout particulier pour la baise violente : elle aime « quand ça tape bien au fond ! » Molly, de son propre aveu, « encaisse plutôt bien ». Un prérequis pour toute voca-tion pornographique, me direz-vous…

Sa seule réticence : le sperme. En bonne connaisseuse, elle en a sûrement vu couler des flots ! Mais elle préfère largement qu’on lui éjacule sur le corps plutôt que sur le visage. « Tous les spermes n’ont pas la même consistance ni le même goût. » On veut bien la croire.