Les nouveaux films de Gianfranco Romagnoli et d’André Baylock prouvent la vigueur économique du porno à l’Est.
Ça tourne à Budapest
Véritable plaque tournante du porno européen, Budapest abrite deux tournages très attendus : « Porno Olympics Games » de Gianfranco Romagnoli et un gonzo à petit budget d’André Baylock pour le site fétichiste « House of Taboo ». Ces deux films sont la preuve que deux types d’économie du X peuvent coexister et toutes deux réussir. D’une part, le nouveau film de Private, véritable minotaure de l’Est, avec une production assurée et un réalisateur qui a fait ses preuves depuis longtemps. D’autre part, un X de niche produit pour l’internet et promettant de ne pas être « un faux site de fessées où l’on ne voit jamais une esclave sodomisée ».
C’est l’occasion pour Aletta Ocean de prouver le niveau de ses performances que l’on avait pu admirer au dernier festival de Barcelone. Quant à « Porno Olympics Games », il devrait bénéficier du buzz des JO en Chine et, de la brochette de poupées que Romagnoli a employée : Lea Lexus, Dorina Golden, Misty Mild, Adriana Russo, Jenny Baby et Gina Gold.
Par Nicolas Nykvist
Paru le 28 avril 2008