Pourtant dominatrice, Satine Phoenix a été six mois durant l’esclave sexuelle d’un Australien.
Au doigt et à l’oeil
Satine Phoenix est une tête brûlée de première. Franchement dominatrice, il lui arrive parfois de jouer les soumises. Alors qu’elle revient d’Australie, elle évoque ouvertement sa relation avec son « maître » avec qui elle a fait des shows en Océanie. « J’ai déménagé en Australie pour être l’esclave sexuelle de cet homme, dit-elle. J’aime vraiment ce que les sadiques offrent aux autres ».
Durant les six mois de cette love story tout mimi, Satine Phoenix a été ligotée, gavée comme une oie par un braquemart, muselée, et même brûlée ! Quant au plastique, c’est un régal pour la hardeuse américaine. « Rien que l’odeur me rend dingue. Il n’y a rien de tel pour m’envoyer au septième ciel. » Phoenix a très peu d’inhibitions. En plus d’être voyeuse au possible, elle est exhibitionniste. Une fois, à San Francisco, elle a baisé sur la banquette d’un taxi sans que le chauffeur la rappelle à l’ordre. « Tout le taxi sentait la chatte. »
Par Nicolas Nykvist
Paru le 11 juin 2008