Les noms des quatre internationaux anglais de rugby impliqués dans une affaire de viol en Nouvelle-Zélande viennent de tomber.
Enfilée quatre à quatre
On connaissait les frasques sexuelles de Paris Hilton, désormais il faudra compter sur celles de Hilton Auckland. L’hôtel haut de gamme de la capitale néo-zélandaise vient d’être le théâtre d’une histoire peu reluisante et lourde de conséquence. Les anglais sont réputés pour leur sens de la bière et de la castagne mais on ne savait pas ce goût pour les abus sexuels.
Quatre joueurs de l’équipe nationale de rugby d’Angleterre ont été accusés de viol par une jeune gogo danseuse néo-zélandaise, tout juste âgée de 18 ans. Il s’agit de David Strettle, Danny Care, Topsy Ojo et Mike Brown. Deux qui s’exécutaient, deux qui regardaient. Les quatre étalons risquent la radiation du XV de la Rose. Pour leur défense, ils avancent que la fille était consentante. Le jour même, les All Blacks les avaient humiliés sur le terrain. Comme quoi, les Anglais ne gagnent pas toujours à la fin.
Par Matthieu Rostac
Paru le 26 juin 2008